La terminologie « Tranche 1 et 2 » peut être utilisée dans différents contextes, il est donc important de préciser le domaine auquel elle fait référence. Voici deux exemples de domaines où ces termes peuvent être utilisés :
Finance et Investissements :
Dans le contexte financier, les « Tranche 1 et 2 » peuvent se référer aux tranches de capitaux propres d’une banque conformément aux accords de Bâle III. Les accords de Bâle III sont des normes internationales qui réglementent le capital bancaire afin de renforcer la stabilité financière. Les tranches définissent les différentes catégories de capital qu’une banque doit détenir pour faire face à divers risques.
- Tranche 1 (Common Equity Tier 1 – CET1) : Il s’agit du capital de base de la banque, généralement composé d’actions ordinaires et de réserves bénéficiaires. Il est considéré comme le capital le plus sûr et le plus permanent.
- Tranche 2 (Additional Tier 1 – AT1 et Tier 2) : Ces tranches comprennent des instruments financiers subordonnés tels que les obligations convertibles et les dettes subordonnées. Ils constituent une couche supplémentaire de capital pour absorber les pertes, mais ils sont moins permanents que le capital de la Tranche 1.
Télécommunications :
Dans le domaine des télécommunications, les « Tranche 1 et 2 » peuvent faire référence à la segmentation des fréquences radio pour la communication mobile. Les bandes de fréquences sont souvent divisées en tranches pour permettre une utilisation plus efficace du spectre.
- Tranche 1 : Elle peut être réservée aux services principaux, tels que la voix et les données mobiles.
- Tranche 2 : Elle peut être utilisée pour des services supplémentaires ou spécifiques, tels que les services haut débit ou les applications industrielles.
Il est crucial de déterminer le contexte spécifique dans lequel les termes « Tranche 1 et 2 » sont utilisés pour fournir une explication précise et adaptée.